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Les randonneurs

On ne parlera pas ici de GR, de Corse et d’autres parcours prestigieux, mais du groupe de marcheurs qui s’est constitué en 1995. Un marcheur, selon la définition du Larousse, est quelqu’un qui est capable de marcher longtemps. Cela s’est avéré exact puisque le groupe marche depuis bientôt 28 ans… Cette activité s’est développée de manière régulière mais informelle, sans structure organisée, sans inscription préalable, sans règlement intérieur, hormis quelques règles incontournables qui se sont imposées à toutes et à tous au fil des années : le départ a lieu à l’heure définie quand celle-ci sonne à l’horloge du clocher de l’église et sans aucun délai accordé. Le retour doit être effectif à 11 h. pour aller au bistrot où la matinée se termine.

Au fil des années, et pour tenir compte du vieillissement des participants, les marcheurs se divisent en trois groupes avec des durées évaluées à 2 heures, 1 heure trente et 1 heure. Le départ du premier groupe étant à 9 h., tout le monde rentre à 11 h. pour aller au bistrot, mais sans obligation.


Le parcours est généralement sur Bouzillé, avec souvent un débordement sur Liré ou Le Marillais. Une fois par quinzaine, les deux premiers groupes marchent dans les communes voisines, dans un rayon maximal de 10 km. En effet, il faut rester prudent : il est arrivé de confondre le clocher du Mesnil en Vallée avec celui de Saint Laurent du Mottay !

Le parcours se décide au départ selon les saisons : on évite les secteurs trop humides et les chemins creux ;

à l’époque de la chasse, on marche dans des secteurs moins fréquentés par les chasseurs dans un respect mutuel de chacun.




Dans les groupes, c’est le règne de la convivialité, de la bonne humeur, qui se prolonge au bistrot où sont fêtés, après le nécessaire verre reconstituant, les anniversaires et autres événements heureux. En cas de fermeture du « Bamba » à Bouzillé, le groupe se rend à La Boissière chez Gildas. Pendant la période du COVID, les cafés étant fermés, un bar s’improvisait « au cul des voitures », comme on dit chez nous. On souligne quand même que « le pinard n’est pas obligatoire ».


La marche sur Bouzillé a débuté avec des personnes de communes extérieures. Cela continue aujourd’hui puisqu’on accueille des personnes du Fuilet, de Liré ou d’Ancenis.

Si ces quelques mots vous donnent envie de participer, n’hésitez pas : rejoignez les groupes, sans aucune formalité, aux heures détaillées ci-avant.

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